mackenzie kang
@ meta
Date d'inscription : 16/06/2024
mackenzie kang
Surnom — Mac, le plus souvent.
ge — 18 ans.
Origines — Coréano-australien.
Orientation — J’suis pas homo déso, serait probablement ce qu’il dirait, mais ça reste à voir. Pour le moment, il tape dans toutes les filles qui veulent de lui, tous les soirs de la semaine, il possède un palmarès presque inquiétant pour un si jeune âge.
Statut — Célibataire.
Métier/études — Psychologie & criminologie.
Taille — 1’83.
Particularité/santé — des cicatrices sur les mains, il est aussi hémophile.
> Cadet d’une fratrie de trois enfants, lui n’a jamais eu l’occasion de connaître le père des deux premières progénitures, au contraire de l’aîné. Par ailleurs, il est le seul des trois enfants à avoir vu le jour sur le sol Américain. De ce fait, Mackenzie est le seul fils légitime du beau-père de cette petite famille.
> Mackenzie voue une admiration implacable à ses grands frères et il le montre. Des câlins, des bisous, sans arrêt accrocher à eux, à quémander de l’attention et des jeux. Cependant, plus le temps passe, plus Ace le repousse, l’ignore, l’évite et marque une certaine distance qui chagrine son cœur d’enfant. Il ne comprend pas alors, il persiste.
> Petit garçon triste retrouve le sourire dans sa complicité avec Leith. Très souvent, il se glisse dans son lit la nuit, c’est lui qu’il réveille quand il fait un cauchemar ou parce qu’il a honte d’avoir mouillé son lit, c’est lui qu’il vient chercher pour vérifier s’il n’y a pas de monstre dans son placard ou pour chercher son doudou lorsqu’il ne parvient pas à le trouver, c’est aussi lui qu’il appelle pour faire ses lacets, attraper les bonbons dans le placard parce que c’est trop haut pour lui ou encore c’est dans ses bras qu’il sanglote quand les genoux sont éraflés. Leith devient alors le remède à tout, sa zone de confort, le pansement de ses plaies.
> L’ambiance à la maison est froide lorsque Ace erre, il a peur lorsque les vases virevoltes. Jusqu’à ce que l’aîné déserte le domicile familial. Mackenzie a seulement 9 ans quand son frère s’en va, juste comme ça, sans la moindre attention pour lui. L’enfant demeure triste, il ne comprends définitivement pas pourquoi son grand frère ne l’aime pas et personne ne semble avoir de réponse à lui offrir.
> Lors de son adolescence, son père décède brutalement, assassiné, sans la moindre idée du coupable. Le deuil est difficile, lui qui a toujours été si bienveillant, si doux et prévenant. Durant cette épreuve, il a besoin de son aîné, il a besoin de le retrouver, de passer du temps avec lui, de renouer. Toutefois, ce qu’il trouve c’est un homme froid et brusque. On dit qu’une âme traumatisée reproduit sur autrui le fruit de son tourment. Une chose est sûre, Mac ne sera plus jamais le même à son retour de sa visite chez Ace et il ne dira jamais pourquoi.
> Sur ses deux mains, des cicatrices circulaires béantes qu’il cache sous des mitaines durant de long mois, une chute à vélo, qu’il dira à sa mère. Après quoi, Mackenzie n’est plus. Cet enfant timide s’envole. Il n’est plus rien de ce qu’il était. Téméraire, impulsif, grossier, mythomane en puissance, grossier, autodestructeur, il se complaît à tout renverser, à laisser sa trace, il aime qu’on le remarque, excessif, jaloux et intrusif, il n’a aucune gêne, aucun filtre, il parle comme il pense, s’attire des ennuis comme un aimant, bagarreur dans l’âme, une petite terreur en puissance qui utilise l’humour (parfois blessant) comme moyen d’auto-défense.
> Sa hargne et cette rage autodestructrice s’est décalquée sur ses relations. Il n’est plus affectueux, plus tactile, il n’est rien de tout ça, mais détruire sa propre vie, ses propres amitiés semble d’une facilité déconcertante, malgré lui. Dans cette avalanche inconsciente, il anéantit aussi sa relation avec son meilleur ami d’enfance, celui avec qui il entretenait une relation spéciale qui était parvenue à survivre aux années décadentes. Entièrement sa faute, pourtant il s’en amuse, ça oui, il s’en vante, il en rit, et pourtant…
> En première année de fac, ses professeurs l’ont déjà en horreur, ils ne supportent plus ses blagues, ses répliques, ses piques, ses mensonges rocambolesques concernant ses retards ou son absentéisme aléatoire, or, malgré ça, ils ne peuvent le nier, Mackenzie rend toujours des devoirs impeccables, sans l’ombre d’un doute parfait, excellent, dont les notes visent toujours le 100%. Il est plus facile de dissimuler sa bizarrerie et son intellect derrière son indivisible opposé, avoir l’air bête lorsqu’on est un prodige repousse l’oppresseur, éloigne le malheur, il s’en est persuadé. Et puis, être intenable est suffisant, il ne voudrait pas faire pleurer maman avec de mauvaises notes.
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Date d'inscription : 16/06/2024