identité Carlos Victor Merída. naissance, âge 3 février ••• 28 ans. origines, nationalité Japonais par sa mère et Vénézuélien par le père, Carlos et ses frères ont hérités de la nationalité du pays déchiré et sont arrivés aux USA sans papiers américains. orientation, statut Célibataire, Carlos n’a pas le temps pour une histoire, ni l’énergie. Quand bien même, il ne fait jamais assez confiance pour ça, parce qu’il sait qu’il ne peut compter que sur lui-même, ce qui fait qu’il n’a jamais pu explorer sa sexualité. genre, pronoms il/lui. métier [$$$$$$] agent de sécurité à UCLA, vigile à l’alibi et coach d’athlétisme. groupe répondre ici.
28 ans - multi-jobs - célibataire taking a closer look
caractère Débrouillard et Mature, Carlos cherche toujours une solution aux problèmes et lorsqu’il n’y en a pas, il sort les crocs, saisit une batte et débarque tel un fou furieux. D’ordinaire, il est calme mais il lui arrive d’être impétueux, féroce et par-dessus tout, rancunier. Têtu, il n’accorde pas sa confiance facilement. Son amour pour sa famille, sa solidarité et sa détermination sont les traits qui le définissent le mieux. Turbulent, erratique, il ne laisse pas de secondes chances et comme il aime souvent le répéter : on ne merde pas avec un Merída, parce que s’il a apprit quelque chose à ses cadets, c’est bien de se défendre et de montrer qu’on ne traîne pas leur nom dans la boue sans en payer le prix.
faits divers (1) Carlos considère ses frères comme ses enfants, il n’est pas rare de l’entendre dire “mes gosses”. Bien que la vie soit compliquée au quotidien, il tâche de le leur montrer le moins possible et garde la face, parce qu’il le faut. (2) Il craint toujours de voir débouler ses parents pour lui reprendre les enfants, ce qu’ils auraient le droit de faire puisqu’il n’a pas de droits sur eux, ni de tutelle. Il se méfie d’eux comme de la peste, déjà parce qu'ils ont toujours plus d’un tour dans leur sac, mais aussi parce que ce sont de grands manipulateurs dans l’âme et que malgré toutes les crasses qu’ils ont faites, il serait aisé pour eux de se mettre les enfants dans la poche. (3) Carlos accumule trois boulots à mi-temps - le matin il est coach d’athlétisme dans une école primaire, l’après-midi il est agent de sécurité à l’université de UCLA, après les nombreux événements dramatiques, ils ont pourvu un poste pour protéger les étudiants et c’est ce qu’il fait, après quoi, il enchaîne le soir en étant vigile dans un bar miteux du quartier, l’alibi, là où squatte tous les ivrognes du coin et quand le barman a besoin, il passe derrière le comptoir pour lui filer un coup de main. Entre tout ça, il doit jongler avec les emplois du temps différents des enfants, les emmener à l’école, chez la voisine pour le plus jeune, à leurs activités extrascolaires, mais c’est ce qu’il faut pour payer les loyers, les taxes, les impôts, sans compter les couches et tout ce dont un enfant pourrait avoir besoin, mais Carlos fait de son mieux - tout ça avec des faux papiers… le temps d’en avoir des vrais. (4) Il mesure 2m09 et c’est souvent utile, pour donner l’impression à ses cadets qu’ils sont en sécurité et protégés, il en joue pour intimider ceux qui embêtent ces benjamins.prénom, pseudo (pronoms)
personnage inventé, pré-lien, scénario ? répondre ici, taguer le.a créateurice si applicable. crédits répondre ici. tout sur l'artiste répondre ici, autant que tu veux, c'est ton heure de gloire.