Le Deal du moment :
Display 24 boosters Star Wars Unlimited – ...
Voir le deal

tami webster

@ meta

meta
Admin
Messages : 820
Date d'inscription : 16/06/2024
#
Mer 19 Juin 2024 - 3:16

tami-lee webster

21 ans / ghostface / étudiant / en couple

SURNOMS — Tami, Lee/Leeb, Miro ou Nexus par son cercle très privé, jamais interpellé par l’intégralité de son prénom.
ORIGINES — Américano-coréen.
GE — 21 ans.
ORIENTATION — Il en a rien à faire, il ne veut pas savoir et de toute façon ça ne l’intéresse pas assez pour qu’il se questionne à ce propos, lui juge qu’il n’est rien, ni homo, ni ni, ni rien de ce genre, juste rien et si un mot pouvait définir qui il est, il choisirait de ne pas être ça non plus.
MÉTIER / ÉTUDES — Personne ne sait vraiment, on le voit traîner dans l’université mais jamais en cours, de ce qu’on dit c’est un génie en informatique et haute technologie, mais là encore, personne ne sait comment le contacter et où le trouver en cas de problème matériel, si un service est nécessaire.

they killed my old self,
but the new me isn’t much better.

Né à Little Rock, en Arkansas, fils de Donhee et Jim Webster, Tami est le cadet d’une famille de huit enfants - Corey, Domi, Debbie, Keeran, Preston, Rema, Noni et lui-même.

Tamilee-Rose. Prénom composé, différent de ceux que portent ses congénères. Dès la naissance, cet enfant ne naît pas comme les autres. Le cordon ombilical autour de la gorge, lorsqu’il est sauvé du danger, le bébé ne pleure pas, non, pas une larme, pourtant son petit cœur bat.

Plus il grandit, plus ça se confirme, Tami est original, comme dit sa mère, pour le rassurer. Tami adore grimper dans les arbres, une simple brindille peut l’amuser durant des heures. Il n’aime pas regarder les dessins animés, lui préfère les informations, les faits divers et les catastrophes naturelles.

Les catastrophes naturelles le fascinent, il en parle comme d’autres enfants discutent du dernier épisode de dora l’exploratrice. Dans la cour, il est seul, toujours, à parler dans le vide, à se parler à lui même, à rire avec du rien, avec personne.

Les années défilent et rien ne s’arrange. Tami n’a jamais coupé ses cheveux, sa mère adorait les coiffer et lui, les voir pousser. Plus il prenait de l’âge et plus ses traits changeaient, à l’inverse de la situation.

Prénom féminin, cheveux longs, visage fin, souvent confondu avec une fille, il devient rapidement la risée de ses camarades, la proie facile, qu’ils disent.

Tami n’a pas de problèmes à la maison, son père n’est pas toujours d’accord avec ses choix mais fait de son mieux pour l’accepter tel qu’il est, sa mère est un ange qui le couvre trop et pour sa fratrie, il est l’hypersensible, la bombe à retardement qu’il faut se tenir prêt à désamorcer.

Ses aînés se battent de nombreuses fois contre ses harceleurs, mais jamais ceux-ci ne le laissent tranquille. Au lycée, il essaie vraiment de s’intégrer, d’aller vers les autres, mais Tami est frêle et arbore un physique androgyne qui pousse à la moquerie.

Ses plateaux finissent toujours au sol à la cafétéria, durant les cours d’éducation physique, il devient la proie de tous les ballons, dans le vestiaire, il est secoué, dénudé pour prouver sa masculinité, son casier vandalisé par des graffitis grossiers et c’est alors qu’il comprend — où qu’il soit, où qu’il aille, il sera toujours contraint à justifier son existence.

Un soir, écorché par les coups, forcé par l’équipe de foot du lycée de se soumettre telle une vraie femme devrait le faire, forcé d’offrir une fellation a chacun d’eux, le cœur se brise pour de bon, comme la mâchoire ce jour-là.

Lorsqu’il rentre chez lui, presque sur les genoux tant le corps appelle à l’aide, il trouve la force d’écrire. Celle d’écrire toutes les choses endurées jusque-là, l’acte subit une heure plus tôt, tout ce qu’il ne put dire puisque trop affaiblie pour cracher sa fureur.

En réponse à cet appel à l’aide, son père saisit une paire de ciseau et coupa d’un geste sec ses cheveux, sous les yeux de tous. Il jeta la grande couette à ses genoux et dit ; maintenant relève toi et sois l’homme qu’ils n’ont jamais cru que t’étais.

Il lui a fallu de nombreux mois pour guérir de cette mâchoire, mais les plaies à l’intérieur, elles, n’ont jamais trouvé de pansement suffisamment étanche pour contenir la rage qui en suppure.

Juin. L’été sonne, la fin des cours approche, l’entrée à l’université aussi. Sauf pour Tami. Lui a d’autres plans d’avenir et pour ses camarades aussi. Un masque sur le visage, une mitraille entre ses mains frêles et voilà qu’il éparpille massacre et hémoglobine dans l’enceinte du lycée qui n’a jamais tendu la main vers lui.

Il tire, abat tout ce qui bouge, fait tomber les corps, fait payer le prix, celui de sa vie, bousiller, piétinée chaque jour un peu plus pour leur seul plaisir, pour quelques minutes de rigolade, voilà ce qu’il était pour eux, ce qu’il représente pour le monde entier, pour l’univers — une vaste blague.

Il n’a pas de pitié, la compassion n’existe plus dans ce corps qu’on a trop malmené, ce corps qu’on a traité avec désinvolture et indifférence, ce corps que personne n’a jamais su estimer, que personne n’a jamais voulu aimer.

Derrière le masque, les larmes de colère se mélangent au large sourire. L’apaisement est tel qu’il en frissonne et quand enfin, tous les cris se meurent, quand il ne reste rien que de la chair et du sang, Tami s’évapore.

Personne ne se doute jamais de son implication, parce que contre toute attente, ce visage synonyme de perversion pour ses défunts camarades, est ce qui le sauva. Comment un petit ange comme lui pourrait-il abattre de sang froid 72 étudiants et 13 professeurs de sang froid. Impossible.

Dès lors, punir l’orgueil, la perversion sur autrui, la soumission d’un innocent, le harcèlement, la torture physique, psychologique, les décimer à la racine, devient son seul but dans la vie.

Il ne parvient plus à vivre, le seul instant où il respire, cet unique moment durant lequel il se sent vivre, c’est lorsqu’il fait justice. Alors, avec ses quatre frères aînés, ils forment une alliance, créer un groupe où la vendetta contre le monde sera leur seul mantra.

Ghostface. Voilà à quoi la vengeance ressemble, lorsqu’elle a un visage. Toutefois, l’un de ses aînés se fait malheureusement attraper, manque de jugeote de sa part et est aussitôt envoyé derrière les barreaux. Jusqu’alors, personne ne se doutait encore combien de têtes se trouvaient derrière le massacre de l’université.

Mais Tami est déterminé. Décidé à faire savoir que ghostface revient, qu’il sera impitoyable, il est prêt, affamé de répandre terreur et chaos autour de lui, ses aînés comprit, tout aussi impliqué qu’il est, bien que les motivations soient pour lui davantage personnelles.

Alors Tami traîne dans l’université, ère tel un fantôme, étudiant ordinaire qu’on pourrait croire, mais si la logique voudrait qu’il soit comme les autres, élève et futur diplômé, les regards qui le frôlent parfois sont loin d’imaginer qu’il est en réalité, un marginal enragé en quête de proie qu’il pourrait saigner.
me contacter
https://natini.forumactif.com

@ meta

meta
Admin
Messages : 820
Date d'inscription : 16/06/2024
#
Mer 19 Juin 2024 - 3:16

liens de prénom nom

(f/m/nb) nom lien description rapide. Etiam a fermentum ipsum, scelerisque placerat justo. Nullam sit amet finibus quam, suscipit malesuada augue. Pellentesque est justo, lacinia id vehicula sit amet, molestie in odio. Aliquam erat volutpat.

(f/m/nb) nom lien description rapide. Etiam a fermentum ipsum, scelerisque placerat justo. Nullam sit amet finibus quam, suscipit malesuada augue. Pellentesque est justo, lacinia id vehicula sit amet, molestie in odio. Aliquam erat volutpat.

(f/m/nb) nom lien description rapide. Etiam a fermentum ipsum, scelerisque placerat justo. Nullam sit amet finibus quam, suscipit malesuada augue. Pellentesque est justo, lacinia id vehicula sit amet, molestie in odio. Aliquam erat volutpat.
me contacter
https://natini.forumactif.com

permissions de ce forum

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum