carmen benedict
@ Nath
Date d'inscription : 16/06/2024
Carmen Benedict
25 ans
Mexicain-américain
Boxeur pro, il fait ses premiers championnats
Bisexuel, seuls ses proches le savent
Célibataire endurci, véritable solitaire de l’amour
$$
Caractère :
Carmen représente l’insolence même, incapable de rester silencieux face à l’irrespect et la provocation. Sang chaud qui tente bien que mal de se calmer, simplement parce qu’il n’a pas envie de créer de mauvais scandales auprès de Babylon, il se défoule alors pendant ses matchs. Débrouillard depuis l’enfance, il n’aime pas qu’on lui vienne en aide, ayant été habitué à être seul dans sa misère comme il le dit. Son hyper indépendance vient du trauma, parce qu’il s’imagine alors qu’il doit rendre les comptes aussitôt, comme il le faisait avec sa mère immature émotionnellement. S’il est un bon ami, il est étonnement peu sociable, préférant ses entraînements aux soirées, même si une fois qu’on le force à sortir, il profite et s’amuse bruyamment. C’est un perfectionniste à la limite du maniaque, il ressent le besoin constant d’exceller, que ce soit pour un hobby qu’il vient de commencer ou ses poings qu’il lance. Dur envers lui-même, il s’est déjà évanoui à force de travailler, mais il n’en parle à personne, par crainte irrationnelle qu’on le pense prêcher la pitié.
« Ils pensent que c’est une amnésie dûe aux traumas. Les souvenirs sont flous, peu nombreux… » explique l’assistante sociale dans un anglais trop compliqué pour Carmen à l’époque.
Maman qui se drogue, clandestine mexicaine enceinte qui doit être rapatriée au pays, elle accouche de Carmen dans une situation catastrophique. Elle manque de mourir et au lieu d’en finir dans la dépression, elle décide d’essayer de s’en sortir. Elle est immature, irresponsable, enchaîne les boulots ingrats dans les quartiers malfamés, mais protège son fils. Elle tente, du moins, car elle réalise bien qu’elle n’est pas une matriarche exemplaire quand elle confie Carmen à un gang pour qu’ils s’assurent de sa sécurité, quand elle est au travail. C’est eux qui lui apprennent à se battre. C’est eux qui lui donnent la force de survivre. C’est aussi eux qui le transforment. Un gamin à peine âgé de 10 ans, qui fuit la police, il est la petite terreur de son école qui se fait renvoyer deux ans plus tard pour bagarres à répétition. N’ayant plus de choix, il devient une mule pour le gang. Il transporte la drogue, les suit dans diverses villes, jusqu’à ce que la proposition soit officielle : ils veulent qu’il les suive en Colombie, terre prospère de la drogue. Alors il accepte. Sa mère le supplie, lui interdit, lui hurle dessus, rien n’y fait et il fugue avec eux. Pour l’argent, parce qu’avec ça il peut tout faire.
En Colombie, tout aurait dû bien se passer, mais la situation dégénère. La villa dans laquelle ils avaient caché la drogue est retrouvée par les forces spéciales et… Carmen ne s’en rappelle plus. Non, ce n’est pas tout à fait correct. Il se souvient bien des cris. Du sang. Des balles. Mais tout est si vague. Si flou. Il ne se remémore que de lui, assis avec l’assistante sociale américaine, qui fait comprendre qu’il sera mieux aux Etats-Unis. C’est ainsi qu’il comprend qu’il ne verra plus jamais sa mère et que sa vie d’avant est terminée.
Carmen n’aime pas la normalité. Aller en cours, sourire, apprendre l’anglais, rester assis. Non, il déteste ça, même. Hyperactif, il est pris en charge par une bonne famille. Tout va bien, ici. Tout va vraiment trop bien. Ça l’en rend dingue, alors il continue la boxe comme défouloir. Il s’inscrit dans un combat clandestin, sans rien dire à personne, même s’il sait que ça risque d’interférer avec son avenir professionnel dans le domaine. Mais il en a besoin. Il flippe à l’idée d’en parler à Babylon, cela dit, Carmen est incapable de se confier à qui que ce soit, incapable de dire qu’il a l’illégalité dans le sang.
L’adrénaline.
25 ans
Mexicain-américain
Boxeur pro, il fait ses premiers championnats
Bisexuel, seuls ses proches le savent
Célibataire endurci, véritable solitaire de l’amour
$$
Caractère :
Carmen représente l’insolence même, incapable de rester silencieux face à l’irrespect et la provocation. Sang chaud qui tente bien que mal de se calmer, simplement parce qu’il n’a pas envie de créer de mauvais scandales auprès de Babylon, il se défoule alors pendant ses matchs. Débrouillard depuis l’enfance, il n’aime pas qu’on lui vienne en aide, ayant été habitué à être seul dans sa misère comme il le dit. Son hyper indépendance vient du trauma, parce qu’il s’imagine alors qu’il doit rendre les comptes aussitôt, comme il le faisait avec sa mère immature émotionnellement. S’il est un bon ami, il est étonnement peu sociable, préférant ses entraînements aux soirées, même si une fois qu’on le force à sortir, il profite et s’amuse bruyamment. C’est un perfectionniste à la limite du maniaque, il ressent le besoin constant d’exceller, que ce soit pour un hobby qu’il vient de commencer ou ses poings qu’il lance. Dur envers lui-même, il s’est déjà évanoui à force de travailler, mais il n’en parle à personne, par crainte irrationnelle qu’on le pense prêcher la pitié.
« Ils pensent que c’est une amnésie dûe aux traumas. Les souvenirs sont flous, peu nombreux… » explique l’assistante sociale dans un anglais trop compliqué pour Carmen à l’époque.
Maman qui se drogue, clandestine mexicaine enceinte qui doit être rapatriée au pays, elle accouche de Carmen dans une situation catastrophique. Elle manque de mourir et au lieu d’en finir dans la dépression, elle décide d’essayer de s’en sortir. Elle est immature, irresponsable, enchaîne les boulots ingrats dans les quartiers malfamés, mais protège son fils. Elle tente, du moins, car elle réalise bien qu’elle n’est pas une matriarche exemplaire quand elle confie Carmen à un gang pour qu’ils s’assurent de sa sécurité, quand elle est au travail. C’est eux qui lui apprennent à se battre. C’est eux qui lui donnent la force de survivre. C’est aussi eux qui le transforment. Un gamin à peine âgé de 10 ans, qui fuit la police, il est la petite terreur de son école qui se fait renvoyer deux ans plus tard pour bagarres à répétition. N’ayant plus de choix, il devient une mule pour le gang. Il transporte la drogue, les suit dans diverses villes, jusqu’à ce que la proposition soit officielle : ils veulent qu’il les suive en Colombie, terre prospère de la drogue. Alors il accepte. Sa mère le supplie, lui interdit, lui hurle dessus, rien n’y fait et il fugue avec eux. Pour l’argent, parce qu’avec ça il peut tout faire.
En Colombie, tout aurait dû bien se passer, mais la situation dégénère. La villa dans laquelle ils avaient caché la drogue est retrouvée par les forces spéciales et… Carmen ne s’en rappelle plus. Non, ce n’est pas tout à fait correct. Il se souvient bien des cris. Du sang. Des balles. Mais tout est si vague. Si flou. Il ne se remémore que de lui, assis avec l’assistante sociale américaine, qui fait comprendre qu’il sera mieux aux Etats-Unis. C’est ainsi qu’il comprend qu’il ne verra plus jamais sa mère et que sa vie d’avant est terminée.
Carmen n’aime pas la normalité. Aller en cours, sourire, apprendre l’anglais, rester assis. Non, il déteste ça, même. Hyperactif, il est pris en charge par une bonne famille. Tout va bien, ici. Tout va vraiment trop bien. Ça l’en rend dingue, alors il continue la boxe comme défouloir. Il s’inscrit dans un combat clandestin, sans rien dire à personne, même s’il sait que ça risque d’interférer avec son avenir professionnel dans le domaine. Mais il en a besoin. Il flippe à l’idée d’en parler à Babylon, cela dit, Carmen est incapable de se confier à qui que ce soit, incapable de dire qu’il a l’illégalité dans le sang.
L’adrénaline.
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